On quitte donc la Guadeloupe non sans mal...


...dans un petit coucou de 20 personnes affrété par la Liat, une compagnie spécialiste des voyages inter-îles de la Caraïbe.
Après un enregistrement de près de deux heures (quel bonheur de transporter des armes et des munitions!!!) on embarque dans un avion minuscule avec près d'une heure de retard. On le démarre en faisant tourner les hélices, comme dans les films!
Alain fait moins le malin, lui qui a horreur des avions va se faire quelques petites frayeurs.
On part donc avec près d'une heure de retard. On apprendra plus tard le surnom de la LIAT: Leave Islands Ainy Time (traduction mot à mot : quitte les îles n'importe quand). Autant dire que sa réputation la précède. Une dame nous a dit que depuis 5 ans qu'elle prend cette compagnie régulièrement, elle n'a jamais été à l'heure!
Première escale, inconnue et...,surprise: la Dominique (on s'était jurés de ne jamais atterrir sur cet aéroport dont on savait depuis notre séjour sur cette île que la piste d'atterrissage était trop petite et plutôt vétuste). Première grosse frayeur.
Deuxième escale, Ste Lucie . Arrivés avec plus de deux heures de retard, on rate la correspondance: plus de trois heures d'attente pour le prochain vol pour les Barbades. Résultat: pour un vol de deux heures, on passe quasiment toute la journée à voyager. Merci la LIAT!
...dans un petit coucou de 20 personnes affrété par la Liat, une compagnie spécialiste des voyages inter-îles de la Caraïbe.
Alain fait moins le malin, lui qui a horreur des avions va se faire quelques petites frayeurs.
On part donc avec près d'une heure de retard. On apprendra plus tard le surnom de la LIAT: Leave Islands Ainy Time (traduction mot à mot : quitte les îles n'importe quand). Autant dire que sa réputation la précède. Une dame nous a dit que depuis 5 ans qu'elle prend cette compagnie régulièrement, elle n'a jamais été à l'heure!
Première escale, inconnue et...,surprise: la Dominique (on s'était jurés de ne jamais atterrir sur cet aéroport dont on savait depuis notre séjour sur cette île que la piste d'atterrissage était trop petite et plutôt vétuste). Première grosse frayeur.
Deuxième escale, Ste Lucie . Arrivés avec plus de deux heures de retard, on rate la correspondance: plus de trois heures d'attente pour le prochain vol pour les Barbades. Résultat: pour un vol de deux heures, on passe quasiment toute la journée à voyager. Merci la LIAT!
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